Guérin: Clytemnestre
Peu importent les routes qui les amenèrent
Aux tortueux desseins des paumes de leurs mains,
Pour tous ceux qu' un oubli plaça sur leur chemin,
Ma vengeance vomit le sort des tortionnaires.
Ni les pleurs ni les âcres cris des Erinyes,
Nulle geôle honnie, nul brasier de géhenne,
Ne sauraient apaiser la légitime haine
Des abîmés au nom d' un mal indéfini.
Ils peuvent bien arguer leur passé, la démence,
Mon coeur sec de pitié crève de leur laideur
Et maudit l' indulgence éhontée des plaideurs
Replongeant la griffure dans la plaie immense.
Aucune guillotine,aucun pénitencier,
Pour l'offense infligée, ni peine capitale,
Vie de perpétuité ou injection létale,
Ne pourront araser ce bancal balancier.
Merci ma chère !
RépondreSupprimerQue vous êtes douée ! que vous nous semblez belle ! Sans mentir, si votre pesant d’acariens se rapporte à vos ors, vous êtes la feenix des hôtes de ces blogs.
Ni or, ni acariens , ni corbeaux ici, en revanche de la place pour un fin renard!Bienvenue à la pensée autonome.
RépondreSupprimerTu es revenue et j'espère qu'ici tu seras plus tranquille !
RépondreSupprimerGros bisous !
C' est le but belle personne, pour l' instant, seul des amis m' ont rejointe.Bises!
RépondreSupprimerDonc je vais te mettre dans mes liens secrets :)
RépondreSupprimerVoilà avec plaisir!
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